LIX. La dernière PPS

Je pars dans l’après-midi avec le boulot qui m’a plombé mon emploi du temps. J’ai décidé de réduire le temps sur le plan en vu de week-end. Ce sera donc un peu plus de 30’ ; 2’ de PPS dont 40’’ de montée de genou (106 !), une dernière chaise et un peu de rôtissoire pour finir.

LXVIII. Ah, une bonne séance !

Beau temps malgré les prévisions météo… Beaucoup de vent. Je ne sens plus rien sur ma cuisse. C’est déjà la première immense bonne nouvelle de la journée.

Je commence ma première accélération beaucoup trop lentement : presque une seconde de retard ! Je mets 3 accélérations à trouver le rythme. Je continue à accélérer et regagne le terrain perdu, même plus.

La deuxième série, je la débute… beaucoup trop vite ! Ensuite je tiens relativement bien sans « tout » mettre non plus : pas question de risquer la blessure.
De bonnes sensations de vitesses et un bilan chronométrique très encourageant avec ma deuxième meilleure vitesse sur une série de VMA (18.59 km/h à la deuxième).

LXVII. Aménagements de dernière minute

Il me faut une petite séance de VMA avant le marathon : déjà que j’ai eu du mal sur la vitesse dimanche, ce n’est pas la peine de perdre trop en VMA avant la course ! D’un autre coté, il ne faut ni se griller, ni prendre de risque sur ma cuisse. Donc je repousse la séance d’un jour et rajoute un petit footing de récupe pour faire tourner les jambes après les quelques courbatures de lundi.

Aujourd’hui donc, sortie décrassage réussie : beau temps, jambes lourdes mais qui tournent de mieux en mieux au fil de la sortie et étirements qui font du bien.

LXVI. Voila, c’est fini.

Je pars donc pour un gros semi à allure marathon après une bonne mise en jambe progressive. Et malgré un supposé vent dans le dos, mes temps de passage sont vite très moyens pour des pulsations trop hautes. Après avoir débuter à 164 bpm (nettement trop vite ceci dit), je stabilise autour de 163 et dès que je me relâche un peu, certes mes pulsations descendent à 159 mais ma vitesse descend aussi sous la barre des 4’20 au kilo.

Je maintiens donc la pression sur tout l’allée avec des pointes à 167 bpm. Sur le retour (1km de plus), je sens effectivement le vent de face (5 mph seulement d’après la météo). Je suis un peu perdu dans mes temps de passage, j’ai soudain l’impression d’être nettement en retard alors j’accélère. Mes pulsations sont désormais à 167 bpm et au-delà. Je suis d’abord un peu trop rapide mais vite je stabilise à 4’20 et mes pulsations restent au dessus de 165 bpm.

La prise des gels aide pas mal mais malgré tout la sensation de fatigue est forte et la perte de lucidité réelle. Je finis ma sortie avec une poignée de seconde d’avance, pas assez néanmoins pour une moyenne de 4’19 au kilo, je reste à 4’20 de moyenne et mon cardio affiche une moyenne de 164 bpm. J’avais le sentiment d’avoir été sensiblement plus haut en moyenne.
C’est sur 21.9 km ça passe sans problème à 15 jours du marathon, mais deux fois ça ? Je ne crois pas. Les sensations tout au long de la sortie et en fin de sortie me seront très utiles pour bien préparer le plan du marathon : je sais que je dois à tout prix limiter mes pulsations quitte à perdre des secondes sur mon objectif, sous peine d’exploser. Cette sortie est donc peut-être un mal pour un bien. Coté cuisse, une grosse lourdeur mais pas de vrai douleur ni avant ni après, ça devrait donc être bon pour Vienne de ce coté là. Et ça c’est sur c’est une vraie bonne nouvelle !

LXV. Back in business baby

3 jours de repos, massage aux anti-inflammatoires et me voilà sur pied pour une sortie PPS allégé de tous les mouvements qui tirent trop sur la cuisse (jambes tendues, rôtissoire sur le dos).

Tout se passe bien, une lourdeur à la cuisse, mais aucune douleur. Bon dynamisme sur les montées de genoux (autour de 110 en 45’’). Par contre la chaise est vraiment dure à tenir, j’ai du mal sur les montées de genoux sur la fin aussi. Mais le bilan est super positif : je programme donc demain une sortie longue du type de ma sortie AS42 annulée jeudi.

LXIV. Prudence

Je pars pour une sortie toute en douceur pour déterminer le programme à suivre cette semaine. Je ressens une vague gêne dans le cuisse. J’attends un quart d’heure que cela chauffe et j’accélère progressivement avec l’idée de tenir une ou 2 minutes à allure marathon pour voir si la sortie programmée demain est possible. Mais plus j’accélère, plus la cuisse me tire. Je décide donc de stopper après seulement ¼ d’heure de course et avant même d’avoir atteint la vitesse marathon et rentre à la banque à pied.

LXIII. Aie !

Dernière semaine de spécifique avec déjà un dimanche « light ». Pointe jeudi avec plus de 20 bornes à AS42. Pour aujourd’hui séries de 300m avec une vitesse revue à la hausse suite à mes derniers fractionnés.

Je pars trop vite et corrige trop sur la deuxième accélération. Du grand classique. Ensuite sur la dernière ou la fin de l’avant dernière accélération de la première série je ressens une gêne derrière la cuisse droite. Je prends mes 3’ de pauses et je sens que mon muscle n’a pas récupéré de ma sortie de dimanche. Une légère contracture ? J’hésite sur la marche à suivre mais comme je cours à petite vitesse la gêne se fait discrète alors je décide de continuer la série. J’étais trop rapide de toutes les façons…

Je gère la deuxième série à l’écoute de ma cuisse : dès que la douleur se fait trop sentir, je relâche un peu. Mes pulsations montent quand même mais je cours le plus détendu possible quitte à lâcher un peu au niveau du chrono. Mes sensations seront presque bonnes. Je boucle donc la sortie comme prévue :
17.84 km/h pour 166 bpm puis 17.68km/h pour 172 bpm, encore au dessus de mon objectif de 17.5km/h avec des pulsations relativement basses. Il faut encore rentrer. Je fais quelques étirements très doux sur ma cuisse, au touché, je sens une petite boule en haut de l’arrière de ma cuisse droite. Oui sans doute une mini-contracture. Je ne sens plus rien après la douche chaude mais je sais que la gêne reviendra dès que le muscle refroidira. Il va falloir réfléchir aux sorties de demain et jeudi…

LXII. Au top ?

Peut-être avec la sortie de jeudi prochain et les 20 km et des poussières à AS42, aujourd’hui est la sortie la plus dense de toute la préparation : 2h43’23, 34.4 km dont 40’ à 137 bpm puis 40’ à 143 bpm puis 17’ à 148 bpm avant 1h à allure marathon et 8’ pour rentrer à la maison.

Des gels dans la poche et des supers sensations. Un léger vent favorable pendant l’allure marathon mais ça n’explique pas tout : 59’04 au lieu d’une heure soit 3h au marathon plutôt que 3h03. Le tout à 160 bpm de moyenne ! Et la sensation d’en avoir encore sous le pied à la fin.
Bref comparé à la semaine dernière, des conditions moins favorables, une sortie plus longue et tout ça avec une meilleure vitesse, des pulsations en ligne et de super sensations. Je pense vraiment que le gel aide, au moins au niveau des sensations : l’effet est moins immédiat que pour le sucre, mais cela dure plus longtemps.

LXI. Toujours plus

Toujours le même programme. 113, 110 et 105 montées de genou pour aujourd’hui. La chaise a été difficile à tenir.

LX. 42 km c’est beaucoup

2 fois 9 km à AS42. Pluie et vent au programme. 18 mph, de face à l’allée avec des bourrasques mais finalement pas trop et la pluie qui va cesser sur tout le retour avec même un brin de soleil pour finir.

A l’allée je m’accroche, je suis encore frais et je monte vite à 165 bpm après un début tout tranquille. Je m’accroche et stabilise vers 163 quand le vent tombe un peu. Je passe à 1 dixième de seconde près dans l’objectif de temps. 4’20 au kilo donc à 163 bpm.

Pour le retour, je suis hyper tranquille après la récupe. Et pour cause, je suis 3’’ trop lent au kilo malgré le vent dans le dos. C’est dur de monter en pulsation, j’ai la sensation d’être à la limite de la zone rouge à seulement 161 ou 162 bpm. Je refais petit à petit mon retard, gère les ponts et finis en appuyant sur l’accélérateur à 164 pbm. A ces pulsations les sensations sont franchement limites.
Je boucle la deuxième série en 4’19 au kilo et 160 bpm de moyenne. Mais l’idée de penser qu’il faut que je fasse plus que 2 fois ça et sans pause… Définitivement il me faudra refuser de monter en pulsation sur le début de course !

LIX. Giboulets de Mars

Gros orage à midi moins cinq. Bof et si je sautais cette sortie. Beau soleil à midi cinq, allez, on y va ! Soleil et averse qui me trempe en 1’ ! Puis soleil et avec le vent je suis sec 2 km plus loin ! Un peu de grêle en passant, mais rien de grave.

LVIII. Montée en puissance

Première fois que je fais des séries de 500m. Je pars dans l’inconnu avec un objectif plus que raisonnable. Malgré un petit vent, le soleil et la température sont fort agréables. Je tiens remarquablement après une première série à 17.9 km/h, je me calme mais tourne toujours autour de 1’45’’ au lieu des 1’49’’ de l’objectif. Je tiendrai toute la sortie pour une moyenne autour de 17 km/h au lieu des 16.5 km/h fixé. Coté pulsation, max à 185 bpm sur une dernière accélération difficile avec un chrono un peu décevant (malgré le fait que je finis dans le mauvais sens).

LVII. Montée en puissance

32 km au programme en crescendo : 40’ à 135 bpm, 40’ à 142 bpm et 15’ à 146 bpm avant l’allure marathon.

Avec un vent dans le dos, un temps superbe j’étais en super forme. 6.4 km et 6 km le tout bouclé à une allure proche de 3h sur marathon (à 10’’ près) et avec des pulsations bien sages : 159 bpm sur la première et 160 bpm sur la seconde avec les ponts au milieu. Il y a des moments où je me dis que je ne pourrai jamais tenir ce rythme pendant 3 heures, et pourtant, je tiens sur 12k après 1h30 de course sans problème.
J’ai eu mal au ventre aussi pendant l’allure marathon. Peut-être que l’attention portée sur la foulée pour « purifier » le mouvement, minimiser les chocs aide aussi

LVI. Puissance

J’ai augmenté le rythme en deuxième partie de sortie pour monter au-dessus de 140 bpm. Les rituelles séries de PPS (3 x 2’15) se sont passées au mieux avec en particulier 102, 104 et 106 montées de genoux en 45’’. Le tout avec un bon placement il me semble. Les 4 x 50’’ de chaise et 4 x 1’15 de rôtissoire sont bien passés aussi.

LV. Comme qui rigole

1h30 dont 1h10 à allure marathon. Grand beau, le vent est raisonnable et, une fois n’est pas coutume, il vient de l’Est.

Je comme ma première série de 8k avec une facilité déconcertante. Le passage des ponts est très bien géré. Un mini coup de mou mais je finis la bouche en cœur à 159 bpm un poil en avance sur mon objectif (4’19 au kilo). 159 bpm c’est aussi ma moyenne sur ces 8k. Je suis un brin déçu : j’attendais 158…
Je pars fort pour le retour et effectivement le vent de face fait mal. Mais après mon deuxième ravito, je stabilise à 162 et je garde le rythme. Et les kilos passent et je garde le rythme et mes pulsations ne montent pas. Les ponts et là je gère bien mais je sens mes jambes devenir plus lourdes. Je ralentis un brin mais bizarrement mais pulsations baissent aussi. C’est bon signe ça ! Je dois me donner des coups de pied au … pour avancer à la bonne allure. Sur le dernier kilo, je vais monter à 164 bpm et reprendre du temps !

Je finis cette série à 162 bpm (là j’aurais dit 163 ;) avec juste 2’’ de retard sur 8k malgré un vent défavorable. Au total j’ai 4’’ d’avance sur 16k : je maîtrise parfaitement l’allure ! Et les sensations ont été excellentes !
Si je compare avec la sortie similaire de Nice-Cannes (3x5k à un mois de la course), je suis 3 bpm plus bas en moyenne (sans doute plus en fait car sur 3 séries plus courtes le début de la série où les pulsations sont basses est surpondéré) et 0.1 km plus rapide.

LIV. Pour le plaisir

J’appréhendais cette sortie après les sensations d’hier. Margot m’a gentiment prêté son i-pod sachant que je m’ennuyais pour les précédents footings du mercredi.

C’est peut-être ce qui a fait la différence ? Avec le beau temps, presque pas de vent et les jambes qui déroulent toutes seules sur un rythme ultra régulier. Retrouver le plaisir de courir, simplement courir, juste ça, tranquille, au soleil !

LIII. Fatigué

Je suis fatigué. Mes jambes récupèrent plutôt bien, elles sont lourdes, bien sur mais aujourd’hui après la séance, c’est encore elles que je sentais le mieux…

La séance ? 152 mètres à courir 24 fois en 30’’. Le vent était dans le bon sens, une fois n’est pas coutume. Mais le soleil tapait et j’ai eu chaud. Première accélération nettement trop vite avec le vent dans le dos, deuxième nettement trop lente. Ensuite j’ai très bien géré, enchaînant les séries dans des temps presque optimaux.

Le bilan chiffré est excellent : 18.35 km/h de moyenne sur la sortie. 0.15 km/h plus vite que l’objectif avec en prime des pulsations beaucoup plus basses que d’habitude alors tout va bien non ?

Non. C’est bizarre ces pulsations basses. Les sensations elles étaient hyper mauvaises. J’ai du m’accrocher pour tenir le rythme, les phases de récupe étaient un peu plus lentes et donc plus longues que d’habitude, et j’ai fini dans un sale état : l’estomac retourné, mal à la tête, impossible de reprendre mon souffle, et incapable de faire quoique ce soit durant l’après-midi.

A priori les deux semaines qui viennent devaient être les plus terribles : la moitié de la phase spécifique est bouclée, la fatigue commence à se faire sentir, les séances sont pourtant encore de plus en plus dures et la course n’est pas encore pour demain !

LII. Inflation

30km en 2h28’30’’ avec un programme gradué : 41’ à 135-140 bpm, 49’ à 140-145 bpm avant mes 11.5k à allure marathon.

Un peu de vent, grand beau. Les ravitaillements en gel sont clairement un plus par rapport au sucre. Je suis hyper facile sur les premiers 6.5 k tournant à 158-159 bpm en allure marathon. Je boucle la série à 160 bpm de moyenne à 14km/h ! (3’’ d’avance au kilo).

Durant la deuxième série, mes jambes se font plus lourdes et je sens que je perds en efficacité. Pour autant je gagne un peu de temps sur les 2 premiers kilos. Puis je gère tranquillement le passage avec les ponts plafonnant à 168 bpm. Je passe au troisième kilo avec 7’’ de retard. Là je décide de les regagner et accepte de monter en pulsation. Les deux derniers kilos sont relativement longs et je dois me surveiller constamment pour ne pas relâcher. Mes pulsations montent à 165 puis jusqu’à 167 bpm. Je boucle la série à 163 bpm de moyenne et 13.9km/h avec 1’’ d’avance au kilo. J’ai donc tourné à 4’15 soit 3h sur marathon sur les 2 derniers kilos. Très encourageant.

LI. Plus fort

PPS en musique. Même programme 3x2’15 de PPS. 98, 102 et 104 montées de genoux, je pense que c’est mon record.
4x50’’ de chaise et 4x1’15 de rôtissoire. RAS.

L. Run like the wind

Vent d’ouest que j’ai senti assez fort à l’allée. De retour au bureau je regarde le site de la BBC : il annonce 22 mph ! Bon ce n’était peut-être pas aussi fort que cela le long du canal, mais quand même !

Je pars donc et malgré le vent je tiens le rythme sur les 2 premiers kilos en restant autour de 159-160 bpm. Les grimpettes du troisième kilo me seront fatales et j’ai perdu du temps tout en montant mes pulsations. Je stabilise ensuite à 163-164 bpm pour monter jusqu’à 168 max alors que je refuse de lâcher du temps. Après 6.5 km je fais demi tour et les 500 derniers mètres seront déconcertant de facilité.

Pour ma deuxième série, mes pulsations montent vite à cause d’un ravito. Mais je suis en avance sur le temps et je redescends facilement à 158 bpm tout en restant dans l’allure. Là encore les ponts me coûtent cher en pulsations.

Au bilan 162 bpm sur les 2 séries ! Et j’ai repris dans la deuxième série les 12’’ de retard que j’avais pris dans la première. Donc 13 km à 4’20 au kilo, à la seconde près avec un vent fort sur l’allée. Je finis beaucoup mieux que la semaine dernière aussi.

XLIX. Bof

51’ pour 2 tours de Regent Park à 136 bpm. Je me suis ennuyé, la tête n’y était pas.

XLVIII. It’s raining again

Depuis le début de l’année, ce n’est que ma troisième sortie sous la pluie! (Je passe entre les goûtes et/ou il pleut moins que d’habitude ?)

Les jambes commencent à bien « charger » et elles pèsent lourd assez vite dans la sortie. 400m c’est vraiment l’enfer, et le souffle peine à suivre et il reste encore de nombreux mètres et de nombreuses accélérations à faire. Mentalement c’est dur, on se dit que les jambes font mal, qu’on manque d’air. Mais il faut tenir et durant les 50’’ de récupe on se trouve finalement pas si mal que ça alors on repart pour une accélération de plus, et encore une. Et c’est la fin de la première série. Surtout ne pas penser qu’il reste la moitié à faire. Relâcher son effort et voir avec délice les pulsations se stabiliser puis baisser, baisser et se dire que l’accélération qui vient va être vraiment facile. Et déjà, c’est reparti, tenir, tenir…

J’ai jamais trouvé la bonne vitesse sur cette sortie : 1’25.7 pour 400m, une seconde de retard sur la première accélération, presque 3’’ d’avance sur la suivante, ça donne le ton de la sortie !

La première série ne se passe donc pas si mal grâce à la deuxième accélération, 16.9 km/h de moyenne à 170 bpm. C’est plus vite et plus haut que ma sortie précédente…

La deuxième série, j’arrive à tenir relativement bien avec des hauts et bas assez marqués, pour finir sur du 17.5 sur la dernière accélération d’où mon 16.97 à 178 bpm. Je boucle à 189 bpm, sans doute tout tout près de ma FCM.
Ca a été dur, très dur, je finis avec les jambes dures, sans souffle à des FC très élevées, mais avec une vitesse de plus de 16.93 km/h 13 centièmes de mieux que mon objectif théorique et pour 2 séries de 6 s’il vous plait.

XLVII. Vent dans le dos

Vent de près de 20 mph, dans le dos au retour lors de mes sections à AS 42 qui ont du coup été faciles… A l’allée, j’ai commencé entre 135 et 140 bpm pendant 40’ puis augmenté entre 140 et 145 bpm jusqu’à 1h28 et le début de l’AS 42.

La première accélération sur un peu plus de 5km est vraiment facile à 161 bpm et 4’14 au kilo. La deuxième avec les 3 petites montées raides à la moitié à peine plus difficile : j’arrive bien à faire redescendre mes pulsations grâce au vent dans le dos le passage difficile passée : 163 bpm en 4’19 au kilo.

Bilan 2h19 à 11.96 km/h et 147 bpm de moyenne. On y verra plus clair la semaine prochaine dans des conditions plus normales.

XLVI. Allonger un peu

J’ai allongé un peu cette séance, juste de 5’. Pour le reste, le programme est identique : 3 x 2’15 de PSS, 1’ de récupe. En 45’’, 96, 95 et 100 montées de genoux. 4 x 50’’ de chaise et 4 x 1’15 de rôtissoire.

XLV. Enjoy !

J’avais préparé cette sortie au mieux : 1h15 environ au programme, plat de pâte hier soir, 8 sucres dans les poches et une petite bouteille d’eau pour le ravito…

Je pars avec le Français avec qui je cours parfois, il ne tiendra que 600m avec moi à AS42… Petit vent de face, je pars sans doute un peu trop vite puis je stabilise bien 4k en 4’17 au kilo à 162 bpm.

1’30 de récupe et c’est reparti pour 3k avec demi-tour après 1k, je soupçonne ce km d’être un peu plus long que 1000m, je fais demi tour, et ça serait plus facile le vent dans le dos si mon ventre, jusqu’à présent lourd, ne hurlait désormais son envie de chier. Ca tombe bien, je suis en pleine séance à 7km des toilettes de la banque. Je sens que cette fin de sortie va être longue, mais longue.

Je suis dès lors concentré non plus sur mon rythme cardiaque et l’optimisation de mon mouvement mais sur l’amortissement des chocs (qui secoue mon ventre) et ma respiration.
Je boucle ces 3k en 4’20 au kilo à 161 bpm. La récupe se passe quasiment à l’arrêt pour éviter les chocs. Les 3k suivants se font à 162 bpm et 4’18 au kilo. Et les 1.9km qui restent à boucler prolongent mon calvaire.

D’un point de vue purement comptable, ça reste une bonne sortie !

XLIV. En passant

Ressorti la tenue d’hivers pour l’occasion. Deux tours de Regent Park en accélérant au rythme infernal d’environ 135 bpm, sur la deuxième pour boucler la sortie en 50’.

XLIII. tout va bien !

Deuxième semaine de spécifique et comme tout se passe très bien pour le moment, je suis plus ambitieux (18.1 km/h sur les 30-30 contre 18.04 km/h en fin de prépa générale et 4k au lieu de 3 sur la première série d’AS 42 de jeudi.)

Pour la journée, je pars avec un peu de vent, je prends mes marques sur 151m (pas bien difficile vu que l’on distingue encore au sol mes marques de 150 et 152m…) La première série se passe bien, légèrement en avance (18.2 km/h). Sur la deuxième, je ne lâche rien malgré mes pulsations qui montent. En milieu de séries mes sensations étaient vraiment mauvaises et c’était dur de continuer sachant que je n’avais fait que la moitié…

Mais je sers les dents et finis la série en 18.19 km/h à 183 bpm, normale en fait au vu de mes archives. Pour la troisième, les deux premières accélérations passent faciles sur la base de ma récupe. Ensuite il m’en reste 6 à boucler alors que je suis déjà à 181 bpm, là encore comme la sortie précédente du 10 février. Je lâche des dixièmes sur les montées face au vent et j’en reprends un peu dans les descentes. Avec un 30.6’’ et un 30.7’’ sur les deux dernières montées, je sais que je suis un peu un retard (j’étais en fait à 18.08 km/h) et je donne tout sur la dernière descente que je boucle à 19.4 km/h, mon nouveau record de vitesse sur un 30-30 !
Au bilan je boucle la séance en 18.22 km/h, en ligne avec mon objectif initiale basée sur 105% de ma VMA théorique pour courir mon marathon à 4’20 au kilo. C’est un peu compliqué, mais ce qu’il faut retenir c’est que je suis en ligne avec la théorie pour courir mon marathon en moins de 3h05 et en avance sur mes objectifs fondés sur ma prépa générale : tout va bien !

XLII. Gel à l’orange le long du canal

2h10 dont 8 km à allure marathon (4.6 k puis 3.4 k). Je teste un gel pendant la sortie, il me plait vraiment avec la sensation qu’il apporte sur les 20’ qui suivent mais il est difficile à manger car son ouverture est trop petite…
Pour le reste, j’ai fini ma sortie facilement, j’aurais pu rajouter des minutes en plus sans problème, et pour l’AS 42, avec léger vent dans le dos et dans le bon sens, j’ai tenu l’allure sans à coup à 162 bpm pour la première et 165 sur la deuxième avec les petites cotes en début de 2eme accélérations pour faire monter mes bpm. C’est plutôt bon tout ça !

XLI. Pas facile aujourd’hui

Je fait mes 45’ avec mes classiques 3 x 2’15 de PPS. 96, 95 et 96 montées de genoux avec de bonnes séries de talon – fesse et jambes tendues. 4 x 50’’ de chaise. Dur – dur. Normal : je n’avais fait que 40’’ la semaine dernière !
Les 4 x 1’15 de rôtissoire se passent également.Stop, on reste sur ces quotités pour finir de préparer ce marathon.

XL. Mesurer ses progrès

De passage à Londres, mon boss à déjeuner mais il avait « un rendez-vous extérieur » entre 2 et 4 pm. J’en profite pour enfiler mon short et faire ma sortie comme prévue, sur la digestion…

Le vent est dans le dos lors de la première série et c’est de la rigolade, 5’’ d’avance et 158 bpm de moyenne. Le vent n’est pas trop fort et je tiens bien la deuxième série (161 bpm et 5’’ de retard) seulement je monte en pulsation sur la fin pour tenir le rythme. La troisième série avec vent dans le dos, je suis dans les temps mais à 161 bpm de moyenne (163 bpm stabilisés sur la fin). La quatrième est plus difficile, j’ai l’impression qu’il y a plus de vent. Bilan ? 1’’ d’avance et 164 bpm de moyenne.

Cette sortie est désormais classique, je l’ai faite quatre fois à différente période de l’année et le graphique (total sur les 4 passages à AS 42) montre mes progrès : la sortie d’aujourd’hui est la meilleure, meilleure même que ma dernière vraie sortie AS 42 avant Nice – Cannes réalisée 10 jours avant le marathon ! Si je tiens la même progression…

XXXIX. Récupe à Regent

45’ dans Regent Park à 137 bpm de moyenne. Bonne récupe avec l’AS 42 de demain.

XXXVIII. Bonne vitesse

Début de la préparation spécifique avec AS 42 le jeudi et sortie longue de plus de 2h.

J’ai réduit l’objectif de vitesse de la VMA du jour pour être en ligne avec mon 18 km/h de mes 3x8x30-30. C’est prudent quand on voit la sortie de la semaine dernière.

Les conditions sont idéales : 11 degrés, couvert, pas de vent. Je pars vite sur la première série avec plus de 2’’ d’avance. Je relâche un peu mais reste toujours significativement sous l’objectif. Mes pulsations montent régulièrement mais sans s’affoler non plus. Sur mes 10 accélérations, une seule sera au dessus de 1’03. En milieu de séance, je me trompe de ligne et coupe trop tôt, du coup je réduis ma récupe à 35’’ et mes pulsations sont d’un coup montées.
Je finis bien avec une dernière accélération sous la minute pour une moyenne à 17.6 km/h ! J’ai retrouvé le sourire !

XXXVII. Retour sur terre

Sortie d’un peu moins de 2h au programme avec test d’un gel (pas convaincu du plus par rapport au sucre).

Je tourne au ralenti à l’allée, je décide de faire mon allure marathon sur 3.5 km allée – retour. Le vent souffle fort (13 mph) et je pars tranquillement sur des bases saines (160 bpm au compteur). Seulement mon retard de 5’’ au premier kilo s’accentue nettement au deuxième et je décide d’accélérer pour tenir l’allure. 164 bpm pendant un bon moment sans reprendre grand-chose. Je finis à 170 bpm avec 12’’ de retard. Le retour après 2’ de récupe se passe bien entendu beaucoup mieux avec le vent dans le dos. Pour autant, mes pulsations se stabilisent à un niveau relativement élevé vers 163 bpm.

Ca se confirme, impossible de descendre une fois qu’on est monté là haut en pulsation. Et la confirmation sur du plat, que je ne suis pas si facile que ça à 4’20 au kilo. On range les rêves d’aller plus vite au placard, et on se concentre pour maximiser la préparation sur cette base. Objectif descendre sous les 3h05, même d’une seconde !

XXXVI. La rôtissoire en extérieure

Je pars sous un rayon de soleil. Sympa. Echauffement tranquille à Regent Park et séries de PPS au stade, 2’15, 1’ de récupe. Et pas loin de 100 montées de genou durant les 45’’ rituelles !
Puis je m’allonge sur la pelouse pour 4x1’10 de rôtissoire. De retour au vestiaire, 4x40’’ de chaise. Quelques, étirements et paré pour la sortie longue de dimanche.

XXXV. Le Mercredi, c’est permis !

Je pars motivé comme jamais. Je compte 152m et m’accrocher pour tenir les 30’’. 18.2 km/h c’est vite, presque jamais fait ça moi. Alors je pars vite ! Trop vite pour mon cardio qui me balance un 213 bpm et trop vite tout court avec un record de 19.2 km/h ! Pourtant je me sens pas si mal. Je me calme un peu mais reste régulier entre 29 et 30’’.

Première série en 18.50 km/h. La deuxième série, je pars vite, mais mes pulsations ne sont pas si hautes, alors je décide de tenir. Je tourne autour de 29.2, 29.3’’, que du bon, pas un passage au dessus de 30’’ sur cette série. Et encore du jus et de la motivation pour aller m’arracher sur la dernière accélération en 19.3 km/h.
Bilan : deux 2 séries de 8 à plus de 18.6 km/h. Sans doute que j’ai pas trop forcé pendant les phases de récupe, mais c’est quand même ma meilleure vitesse historique sur une série de fractionnée ! Plus besoin de me motiver pour entamer la prépa spécifique la semaine prochaine !

XXXIV. Tranquillou

Semaine tout en douceur avant d’attaquer le début de la vraie préparation.

Et dans les vestiaires, je croise le VIE français, ça devrait correspondre pour mon programme, on décide de courir ensemble. Je le laisse faire le programme, un peu court avec une montée de Primerose Hill. Seulement 38’ à 11.3 km/h. Rien de dramatique. Ca permet de bien faire tourner les jambes, encore lourdes de la sortie longue de dimanche.

XXXIII. En ligne

1h45 de sortie longue avec 2 fois 2.38km à AS 42, petit vent de face. J’oublie mon eau, dois rentrer à la maison, et boucle ma première partie de sortie sans aucune envie d’accélérer.

Pourtant, cela passe bien, très bien même : je reste autour de 160 bpm, dans le rythme malgré le vent de face et le faux plat montant. Je gère tranquillement la fin de cette première accélération en 159 bpm de moyenne pour 14.09 km/h. Sur la deuxième, je gère bien aussi et lève le pied vers la fin quand je vois mes pulsations à 167 bpm dans le quatrième et dernier faux plat montant. 161 bpm, 13.92 km/h.

Les jambes sont un peu lourdes, mais les progrès sont là. Descendre sous les 3h05 à Vienne parait tout à fait réaliste.

XXXII. Petits progrès

Parcours habituel, 2’15 de PPS avec 1’ de récupe. 95 montées de genoux avec 1’’ d’avance sur la première série, et une de retard sur les 2 séries suivantes. C’est mieux que les semaines passées.

Retour à la maison pour 4x30’’ de chaise, 6x20’’ de genou - poitrine et 4x1’05 de rôtissoire.

XXXI. La Gadoue, la gadoue

Mauvaise surprise en arrivant au stade, la piste est détrempée par les pluies des derniers jours. Que d’eau ! Pas la peine de penser courir à l’intérieur, et à l’extérieur, je finirai tout crotté.

Je prends mes marques et pars pour un premier 400m en me trompant de ligne. Je m’en rends compte très tard et décide de faire les 27m de plus que fait la piste à l’extérieur. Du coup je ne sais pas trop pour la vitesse, mais ça a l’air bien, la deuxième accélération et près de 2’’ de retard, je regagne une seconde sur la troisième et serai dans les temps jusqu’au bout de la série.

J’accélère nettement sur la deuxième série de 6, et mes pulsations, sans doute un peu trop tranquilles, montent vite. Je boucle les accélérations en 16.6km/h, 1 dixième plus lent qu’il y a 15 jours sur 2 séries de 5. Mais avec la boue, les appuies sont fuyants et il faut ralentir dans un tournant pour ne pas risquer la chute, par ailleurs dans le même tournant, je ne prend pas totalement l’extérieur encore plus détrempé, alors ???

Content de cette sortie malgré tout.

XXX. Un tour à Regent Park

Pas grand-chose à ajouter pour cette sortie de récupe menée au petit trop.

XXIX. Jolie reprise

La semaine s’annonce difficile avec un joli programme ! Elle est clé car la semaine prochaine, il faut lever le pied avant de débuter la phase de préparation spécifique. Pas question de se louper donc. J’ai préparé mes objectifs minutieusement.

J’appréhendais donc cette première sortie, semaine dernière allégée, manque de repère et d’envie, qui plus est, il y a quinze jours j’étais à 17.92 km/h, il y a un petit vent défavorable et la piste risque d’être sinon impraticable du moins gorgée d’eau et donc lourde.

Première bonne surprise : la piste est bonne, un peu humide par endroit, mais pas trop. Deuxième bonne surprise, je retrouve ma marque d’il y a quinze jours que 20 cm de neige n’ont pas effacée.

Je pars bien en ligne avec mon objectif, j’accélère même sur la deuxième partie de la série : 18.09 à 168 bpm. Deuxième série, je pars trop vite (29.1’’ sur 150m) mes pulsations montent vite, mais je gère pour la finir en 17.96km/h et 175.5 bpm.

Encore trop rapide en début de troisième, je dois relâcher et fais une série en 31’’ ! Mais je sers les dents et maintiens un bon rythme avec des pulsations au plafond sur les 3 dernières accélérations : 18.05 km/h et 179.5 bpm. Moyenne finale à 18.04 km/h, belle sortie et contrat rempli.

XXVIII. Pas envie

Je pars sans envie pour 1h15 dans le gris, le soleil se lèvera et me mettra un peu de baume au cœur. Le vent a tourné par rapport à la semaine passée et est de face. Je boucle mes 2.38km habituels en 10’12 et 162 bpm. Tout va bien. Fin de cette semaine de récupe. J’espère que l’envie va revenir très vite parce que les choses sérieuses vont commencer dès lq semqine prochaine ! Et que les fractionnés de mardi et jeudi risquent déjà d’être particulièrement difficiles.

XXVII. Un arbre sur les berges du canal

Temps gris, pas trop de vent. Je vais faire mon tour habituel de 2 km sur le canal. Seulement un arbre m’empêche d’avancer, je dois faire un détour par le chemin parallèle au nord. Je ne maîtrise plus bien la distance et puis ça monte et ça descend beaucoup. Je boucle mon premier 2km en 8’33 à 162 bpm de moyenne, mais la deuxième, je monte à 8’52 pour stabiliser mes pulsations. Bref pas trop d’indication aujourd’hui.

XXVI. De la neige pour récupérer

Une petite semaine bien tranquille pour consolider les acquis et qui tombe à pic : Tout Londres était bloqué par la neige lundi, mardi on reprenait vie lentement mais j’ai quand même décalé ma sortie à mercredi (en plus je suis en déplacement jeudi, comme ça je décale aussi celle de jeudi à vendredi…)

Arrivée au stade : un manteau de neige à s’en faire mal au yeux avec le beau temps. Quelques traces de pas, des bonhommes de neige, mais personne n’a couru depuis qu’il est tombé 20 cm… De plus près, il y a une partie damée. Je prends mes marques, sans doute un peu approximatif, et pars un peu précautionneux pour la première accélération. Je rate la ligne et décide de faire de petits tas de neige sur le coté pour bien marquer.

Question perf, pas facile à dire, vus les marques approximatives et les appuis nettement moins bons que d’habitude. Je m’applique à courir bien placé pour éviter de trop glisser, c’est un bon exercice. Pour le reste. Les pulsations ne monteront pas trop haut mais j’ai quand même la sensation d’avoir fait un bon effort.

Vraiment sympa cette petite expérience et pas de problème question programme : c’est la récupe !

XXV. Moral en hausse

Entre éclaircies et neige sur la fin, le vent soufflait fort : 16 mph, mais de l’est, donc de dos dans la montée. Je suis parti avec Margot, mais très vite je l’ai lâchée pour me réchauffer en accélérant. Après un peu plus d’une heure, je commence mes séries à AS42. J’avais initialement prévu 2x10’ au programme, mais revu ma copie pour un 3x10’ sur le même parcours que les semaines précédentes (les 2 premières sur celui d’il y a 15 jours et la dernière sur celui de la semaine dernière).

Je pars hyper tranquille dans la descente avec un vent relativement faible, je plafonne à 154 bpm. En fait je suis un poil trop lent (4’’ de retard sur le premier kilo). Du coup je force un peu dans la descente et boucle la série trop vite (4’’ au kilo en moyenne) mais à un très raisonnable 159 bpm de moyenne.

Deuxième série dans la neige et je pars plus vite, ne faiblis pas assez et suis encore plus rapide (7’’ d’avance au kilo pour 161 bpm de moyenne). Sur la dernière, je suis en retard au 1er kilo. Le vent a forci et la lutte me fait monter en pulsation. D’autant plus que je vais encore plus vite ! 10’’ d’avance au kilo pour 165 bpm.

Avec le relief et le vent, j’ai du mal à trouver l’allure, mais à ce stade de ma préparation, je pense que ma VMA a progressé avec l’efficacité de mon mouvement ; ce qui se traduit par un gain de pulsation assez net. Cela reste à confirmer, avant de s’emballer.

De retour à la maison, 4x28’’ de chaise et 4x1’05 de rôtissoire. La semaine prochaine, priorité à la récupération !

XXIV. Du mieux

La préoccupation de la journée, c’est mon ampoule, je cours ultra doux et il n’y aura pas de soucis. Mieux, la sortie longue se passera sans retour de l’ampoule. Il faut attendre que la peau morte tombe et que celle de dessous s’épaississe et fini ce mauvais épisode.
Pour la PPS, 95, 94 et 94 montées de genoux en 45’’, 1’ de récupe entre les 3 séries de 2’15. A la maison, 4x28’’ de chaise, 6x20’’ de genou poitrine fixe et 4x1’05 de rôtissoire.

XXIII. Ca passe

Il fait super beau et je pars un peu perturbé par mon pied : je sais que mon ampoule va revenir, j’ai eu beau faire sauter la sortie d’hier, ma plante de pied reste fragile. Je prends mes marques et il y a 2m d’écarts avec la semaine dernière alors que c’est sensé être la même distance ! Peut-être pour ça aussi que j’ai explosé.

Cette fois je pars molo, mais à la fin de mon premier 400m, je m’aperçois que je n’ai pas enclenché le chrono. Ca m’énerve, je fais une fausse manipe et efface tout. Bon je repars à 0 pour la deuxième série. Je vais encore me planter entre mes deux lignes (je pars sur la mauvaise, coupe, reviens sur l’autre, repars…)

Mis à part ces péripéties, la première série se passe bien, correctement gérée à 16.66 km/h pour 168.75 bpm de moyenne sur les 4 séries enregistrées. 3 minutes de pause et c’est reparti pour la deuxième série. Là, je vais gérer tout bien et finir en 16.76 km/h pour 176.6 bpm de moyenne.

Une très bonne sortie donc, bien dans mon objectif, en net progrès sur la semaine dernière. L’ampoule a bien gonflé et a éclaté sur le retour à la maison le soir après le boulot. Va falloir gérer pour ce week-end.

XXII. Reprise du fractionné

Programme de la semaine avec une interrogation sur la sortie de mercredi : on verra en fonction de mon pied.

De belles éclaircies mais un pied fragilisé par une ampoule à cause de la sortie humide de dimanche. La première série est difficile, déjà, je monte plus haut en pulsation que la semaine dernière (168.3 de moyenne contre 167) pour une vitesse équivalente, en ligne avec l’objectif (17.98 km/h pour un objectif de 18).

L’erreur sur la deuxième série où je pars trop vite sur les premières accélérations. Je ralentis ensuite, plus que la semaine dernière : je suis juste en ligne avec les objectifs 18 km/h mais les sensations sur la dernière accélération sont vraiment mauvaises.

Troisième série, je pars en essayant de gérer. Je veux à tout prix éviter d’exploser comme jeudi. Je tourne en 30.3’’ sur les premières séries, puis je faiblis jusqu’à 31.1’’ (moins de 17.4 km/h). Sur les deux dernières séries, je suis capable de réaccélérer, mais partant de si bas, je fais du 30’’ de moyenne seulement. Je boucle la série en 17.77 km/h de moyenne et 177.5 bpm, nettement moins que la semaine dernière : juste je suis allé moins à fond et pourtant, les sensations du jour ne me racontent pas du tout cette histoire là.
Je finis 0.08 km/h en dessous de l’objectif avec mal au pied. La sortie reste positive puisque j’ai fini la séance, que la vitesse même un peu inférieure à l’objectif reste élevée. Il faut juste espérer que mon pied soit guéri demain pour une sortie de récupe qui ferait du bien avant le fractionné long de jeudi.

XXI. C’est reparti

J’avais prévu 15’ d’AS42, mais vu jeudi, un peu de vitesse ne me fera pas de mal, donc je pars pour 2x10’ sur le même parcours que la semaine dernière, 3’ de récupe entre les 2.

« Heavy rain » dit la météo qui se trompe rarement en annonçant de la pluie. Je pars à un moment où le ciel a arrêté de goûter. Je tourne à 140 bpm à environ 11.5 km/h. Il faut dire que le vent est dans le bon sens (sud, sud-est). J’ai pris 2 pâtes de fruit pour le ravito, très sucrées, il me faut beaucoup d’eau pour faire passer.

J’arrive à ma première série, plutôt bien en ayant couru à nettement plus de 11 km/h de moyenne. Je gère mieux le début et surtout la descente. Je suis encore pas mal en avance avant les 500 derniers mètres en montée. Je gère bien et boucle à 14.1 km/h de moyenne pour 162 bpm. Trop vite.

Deuxième série assez comparable. Je gère le début en montant vite à 165 et même 167, ravito en plus. Mais je suis en avance et je relâche bien pour finir sur un joli 14 km/h de moyenne et 165 bpm. Je vais encore trop vite. Pourtant hors « la cote » je suis vraiment bien à cette allure. C’est très bon signe pour la suite !

Depuis le début de la deuxième série, le crachin s’est transformé en pluie torrentielle. Je rentre donc vite à la maison pour finir la sortie et me mettre au sec. 4x25’’ de chaise passe facile. La rôtissoire (4x1’) un peu plus dur mais passe bien aussi.

XX. Reprise mole

Une sortie avec peu de motivation. Un peu d’éclaircie et les 3x2’15 de PPS se passent un peu mieux que la semaine dernière même si cela reste difficile.

Pas de problème sur la chaise à 4x25’’, 6x20’’ de genou-poitrine et 4x1’ de rôtissoire (un peu plus difficile pour ce dernier exercice).

XIX. Explosé en plein vol

Suite à la semaine dernière, j’ai revu mon objectif en nette hausse : j’avais couru à 16.9 km/h 8 séries, je passe à 10 mais en 2x5 et à 16.8, logiquement facile, d’autant que les sensations la semaine dernière étaient excellentes.

Aujourd’hui pluie et vent. Et ben je suis bien plus motivé qu’hier, je pars la fleur au fusil en me disant que c’est facile. Vu l’état de la piste, je fais le tour extérieur. 1er tour, pas trop mal géré je pense. 4’’ de retard ! Ouh là, je vais en chier. 2ème tour j’accélère, encore 1’’ de retard… 3ème tour, plus d’1’’ d’avance mais 180 bpm à la fin. 4ème tour presque 2’’ d’avance mais 183 bpm. Dernier tour de la 1er série, ouh qu’il est dur ! 1’’ d’avance 185 bpm.

Là mes 3 minutes de récupe ne sont pas volée. J’attaque ma 2ème série avec un rythme cardiaque bien redescendu. Mais je ne maîtrise pas bien ma vitesse et j’ai environ 3’’ d’avance. Seulement je finis le tour à 184 bpm et il m’en reste 4 à enchaîner. La deuxième accélération est vraiment dure, je dois relancer tous les 30m. Et ça tourne dans ma tête, il en reste encore 3 après, pas 2, mais bien 3, peut-être je peux réduire à 2 ?
Las, je coupe mon effort sans même finir cette deuxième accélération. La première désillusion est arrivée bien plus vite que prévue ! Alors on peut parler de la pluie, du sol lourd… c’est surtout que je suis allé trop vite, que j’ai mal géré et que j’ai lâché dans ma tête et ça il faut que je me l’interdise. Le seul moment où j’ai le droit de lâcher c’est sur les sorties AS42 longue à l’approche du marathon et pour ne pas cramer bêtement toute mes forces avant la course.

XVIII. Régénération

Il fait beau, ça devrait me motiver, mais non. Je sors en traînant des pieds avec mon cardio pour être bien sur de ne pas aller trop vite pour écourter la tache.

XVII. Objectif tenu

Semaine classique avec une rude progression qui débute. Pas, peu de vent. Waoo, une première, pas mal de monde sur la piste avec ma tenue de pros et mes sprints à répétition, je dois en imposer aux joggeurs dilettantes.

Si la première série sur 150m me parait difficile, je tiens bien mon objectif puisque je la boucle en 17.96 km/h (objectif de 17.9) et mes pulsations sont restées sous les 180.

Deuxième série et un trio d’un garçon et 2 filles sont en sprint juste devant moi. Le garçon me lâche et pas qu’un peu mais je double les 2 filles. 18.7 km/h de moyenne dans la partie montante mais des pulsations à 172 pour débuter la deuxième accélération. Ah, ce que c’est que de vouloir impressionner les filles ! Du coup j’ai perdu le rythme, je monte en pulsation très vite ensuite je stabilise en gardant une bonne vitesse ! Bilan de la série 18.19 km/h de moyenne !

Je crains vraiment la troisième d’autant que sur ma première accélération, je loupe le top, je coupe, fais demi-tour et repars. Là encore je monte très vite en pulsation, la courbe est quasi parallèle à celle de ma précédente série. La vitesse tient à peu près. Une dernière accélération pour boucler la série en 17.98 km/h. Allez, ça fait un bail, je ne résiste donc pas à poster mon graphique de cette séance assez réussie. J’ai gagné presque 0.2 km/h sur la semaine dernière pour boucler la série au dessus de l’objectif de la semaine prochaine. C’est du tout bon ça !

XVI. Ca souffle

30 km/h de face dans le faux plat montant ! Plus de sucre, je pique une pâte de fruit à Margot. Je tourne un peu au-dessus de 140 bpm de moyenne. Avec le vent j’arrive à mon passage AS42 en un peu plus de 1h15 et avec une nette sensation de fatigue (j’étais « facile » à Villandraut).

Je pars calmement avec le vent de face en faux plat montant. Petit à petit j’accélère et mes pulsations montent au dessus de 160 bpm. Dans le virage, je ne relâche pas l’effort. Je passe au kilo en 4’23 et 161 bpm ce qui compte tenu des 700m avec vent de face est plus que bien.

Je ne relâche toujours pas et continue à monter en pulsation. La sensation d’essoufflement arrive et je me calme un peu. Pour autant avec descente et vent dans le dos, je boucle les 850m beaucoup trop vite et avec des pulsations moyenne de 163 bpm.

La fin, vent de face et montée, est vraiment difficile surtout que je ne lâche pas le rythme. Les pulsations grimpent au fil des mètres. Je coupe trop tôt : manque de lucidité il me manque 40’’ pour faire 10’. Mes pulsations sont à 171 quand je m’arrête. Pas dramatique non plus. De retour à la maison 22’’ de chaise sont bien difficiles, par contre la 1’ de rôtissoire passe presque « tranquille ».

Plutôt content au final, ce ne sont pas les temps de Villandraut, mais le parcours et le vent ne sont pas les mêmes non plus. Et les pulsations ont l’air de rester sages à 4’20 au kilo alors qu’il me reste de longs mois de préparation. Ca reste à confirmer, mais c’est très encourageant.

XV. Entre les gouttes

Du vent tout le week-end, mais 2 sorties au soleil. De la pluie la nuit, la nuit dernière, cette nuit et la suivante.

Une envie toute relative de sortir après des mauvais coups au Poker. La sortie se passe bien, mieux que la précédente : je tiens les 2’15 de PPS trois fois à 92 montées de genoux en 45’’. La première avec 2’’ d’avance, la deuxième dans les temps, la dernière avec 1’’ de retard et un mouvement un tout petit peu dégradé. On remet ça au programme la semaine prochaine.

22’’ de chaise 4 fois, de la rigolade, 20’’ 6 fois de genou – poitrine et 1’ de rôtissoire fois 4. Ca commence à être sérieux.

XIV. Ca a marché !

Je pars pour ma séance de 400m. Temps frais, nuageux, pas trop de vent. Bien quoi ! Je cours à la corde en ayant rajouté 13m au tour de piste. Première accélération où j’ai l’impression de bien gérer et je passe avec plus de 4’’ d’avance sur l’objectif !

Je me calme pour la deuxième et troisième perdant environ 1’’ à chaque, mais un coup d’œil sur mon cardio me confirme que j’ai de la marge. Donc je reprends un rythme plus soutenu, quatrième, cinquième, sixième et septième encore un peu plus vite, huitième à près de 17.5km/h.

Bilan 16.9 de moyenne contre 16.1 pour l’objectif du jour et 16.5 prévu pour le top de ma prépa ! Allez, on réajuste le plan à la hausse sur la VMA longue, bien ça. Si je pouvais faire pareil sur l’AS42…

XIII. Récupe de chez récupe

Je suis parti avec mon cardio pour être sur de ne pas forcer après la difficile sortie d’hier et avant celle qui s’annonce non moins difficile demain.

Je tournais sereinement entre 130 et 135 bpm, content de ma sortie. De retour au bureau, 9.6 km/h ! Tu m’étonnes que mes pulsations soient restées si basses !

XII. Faut pousser petit !

Allez, encore une semaine toute classique de préparation !
L’objectif de la journée semble facile, mes sorties villandrautaises m’ont prouvé une bonne forme et je marque une pause dans la progression. Bientôt, ça sera 0.1’’ à gagner par semaine… Alors si je peux être une petite semaine en avance, voire plus, ça m’éviterait de rapides désillusions.

La météo est correcte, plutôt chaud (après Prague, je fais mes séries en tee-shirt !) et un vent normale, même si contraire, dans la montée. Je prends mes marques sur 149m. Sur la première accélération, c’est l’euphorie, j’ai l’impression d’avancer sans trop d’effort et je coupe avec 0.8’’ d’avance, la seconde en descente je prends donc le temps. Ben 0.6’’ de retard, pas si facile. Je boucle la première série de 8 sur de mauvaises sensations mais des chronos honorables (17.9 km/h de moyenne).

Dès le début de la deuxième séries je monte en pulsation et mes temps s’effritent inexorablement. Je refuse de penser à la troisième série et serre les dents pour ne pas trop lâcher de temps (17.82 km/h de moyenne). La troisième série ? Les 2 premières accélérations tiennent la route, ensuite je jette mes dernières forces pour éviter de m’effondrer. Et sur la dernière ligne droite, alors que je tournais à plus de 185 bpm depuis plusieurs accélérations, je trouve des ressources insoupçonnées pour sauver ma série (17.83 km/h de moyenne grâce à un 18.9 km/h sur la dernière !).
Encore une fois ce fut dur. Et je n’ai que 0.05km/h d’avance sur mon programme. D’un autre coté j’ai réalisé mon objectif et quand je compare à une séance similaire (24 fois 30/30 sur la même piste) je vais 0.35km/h plus vite. C’était un mois avant le marathon Nice-Cannes…

XI. Retour en occident

Après 4 jours sans courir à Prague et dans les avions, je suis content de rechausser mes runnings. J’ai eu froid pendant 4 jours et appréhende cette sortie. Mais il fait beau et les sensations seront excellentes tout du long. J’arrive à Longchamp après avoir su gérer quelques plaques de glace. Et là, pas un vélo malgré le grand beau.

Et pour cause, tout est recouvert de neige. De la neige propre compacte, qui crisse à chaque foulée. J’en profite au maximum, je cours tranquillement puis un coureur me double et je courrai plus ou moins avec lui plus d’un tour. Le plaisir de voir les lacs gelés, les trottoirs blancs et les coureurs couverts.

Chic sortie qui se finit par le même chaise + rôtissoire que la semaine dernière.

X. Avant le train

Programme allégé cette semaine pour cause de vacances à Prague. Il neige ! J’aime bien courir sous la neige, surtout que les flocons ne sont pas trop denses et ne gênent donc pas pour avancer ! J’ajoute 2m à la semaine dernière et je tiens l’objectif.
Contrairement à la semaine dernière, je vais de plus en plus vite au fil des séries. Je finis relativement frais (comme on peut l’être après 24 fois 30’’ d’accélération…) Mais la vitesse est en nette retrait par rapport à la semaine passée.

IX. Sans coup férir

Des nuages, et le retour sur terre d’hier me pousse à traînasser. Je finis par chausser mes running. La sortie longue est ma sortie préférée. Un peu d’eau de sucre et c’est parti comme la semaine dernière. Sauf qu’arrivé en bout de piste sur la route de Basaz, je ne traverse pas la route mais tourne à droite vers Lignan et Basaz. Je ferais la même distance. Comme il fait moins froid, je vais moins vite au début, mais j’accélère facilement ensuite.

J’ai l’impression d’être vraiment tranquille sur le 1er kilo de mon accélération alors j’en remets un peu. Ce n’était pas la peine : je boucle le 1er k en 4’03 ! J’y vais donc tout tout doux ensuite, ravitaille et 4’14. Bon ben tout va bien, très bien. Faudra confirmer ça à Londres dans 15 jours.

Et chaise et rôtissoire comme hier pour bien finir la sortie!

VIII. Coup d’arrêt au moral

Tout allait bien, très bien : j’enchaînais les séances suivant le programme avec de bonnes sensations et des performances nettement en avance sur ma préparation. Et puis là, sur une petite sortie PPS de rien du tout où j’augmentais mes séries de 5’’ chaque, patatras !

3 séries de 2’15 au lieu de 2’ la semaine dernière, 93 montées de genoux, soit en proportion avec la semaine dernière, mais déjà les toutes dernières sont difficiles. Sur la deuxième série je tombe à 92 et les derniers gestes sont loin d’être parfaits, sur la dernière série, me voila au environ de 85 et j’ai du mal à récupérer.

Les 4x20’’ de chaise, 2x3x15 de genou – poitrine et 4x55’’ de rôtissoire se passeront par contre sans problème.

VII. Plus facile que prévu

Je n’étais pas motivé. D’abord le froid, et puis aussi une grosse flemme et de l’appréhension devant la sortie que je trouve la plus difficile de mon programme : les séries de 400m.

Je prends mes marques et c’est parti. Un peu en avance au début mais sur de bonnes sensations. Et de plus en plus en avance au fil des séries. Je finis bien sur fatigué mais avec des chronos excellents (un problème de distance ?) et finalement moins mal que je n’ai pu l’être sur ce type d’exercice par le passé.